Vaccination de rappel
La circulaire de l’OFSP à ce sujet est jointe au présent courriel.
Adaptation des recommandations de vaccination contre le COVID-19 pour les femmes enceintes
Vu le nombre croissant de preuves de la sécurité et de l’efficacité de la vaccination chez les femmes enceintes, les bénéfices (rapport entre les risques liés au COVID-19 et les effets secondaires potentiels des vaccins) sont nettement établis. L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) et la Commission fédérale pour les vaccinations (CFV) ont par conséquent adapté leurs recommandations : la vaccination contre le COVID-19 avec les produits à ARNm autorisés en Suisse est dorénavant recommandée pendant la grossesse (à partir du 2e trimestre) et pendant l’allaitement. Cette ligne directrice vaut aussi pour les femmes qui envisagent d’avoir un enfant. Le schéma vaccinal est le même que pour le reste de la population
Les femmes enceintes qui souhaitent se faire vacciner n’ont plus besoin de présenter une attestation médicale ni de donner leur consentement écrit.
Les recommandations de vaccination et le matériel d’information correspondant sont disponibles aux liens suivants :
Recommandations de vaccination
Foire aux questions pour les professionnels de la santé
Documents et fiches d’information pour les professionnels de la santé
Site internet destiné à la population
Foire aux questions pour le grand public
Informations diverses destinées à la population
Attestations pour les personnes qui ne peuvent pas se faire vacciner
Les éventuelles contre-indications à la vaccination doivent être posées par la ou le médecin traitant. Nous vous renvoyons à ce sujet aux recommandations de vaccination de l’OFSP et de la CFV. Considérant ces contre-indications limitées, une attestation médicale doit être établie en conséquence. Sa durée peut être limitée sur la base d’un examen médical (à préciser dans l’attestation).
Important : les médecins sont tenus d’établir une attestation conforme à la vérité. Cela signifie qu’aucune attestation ne doit être délivrée pour une durée indéterminée lorsqu’il est prévisible ou possible que la situation change. En cas de soupçon d’attestation de « complaisance », une dénonciation auprès de l’autorité d’instruction pénale compétente pourra être envisagée. Il en va de même pour les attestations d’exemption du port du masque destinées à des particuliers.
Les personnes en possession d’une attestation prouvant une contre-indication médicale à la vaccination contre le COVID-19 peuvent continuer à se faire tester gratuitement et recevoir un certificat COVID en cas de résultat négatif. Les coûts des tests seront toujours décomptés à la Confédération via l’assureur-maladie (qui joindra une copie de l’attestation médicale).
21.09.2021 / SMC